La mise en place de la Loi Lagarde protège de plus en plus l’intérêt des consommateurs. Effectivement, la réserve d’argent et le prêt personnel n’étaient pas si intéressants qu’ils ne paraissent. Depuis toujours, les banques font beaucoup trop de profit sur ce type de crédit conso. Malgré l’application de cette loi, de nombreux pièges sont encore à éviter pour le crédit revolving.
Beaucoup trop de sollicitations sournoises
Les appellations du crédit renouvelable sont toutes très séduisantes les unes que les autres. Il est évident que des noms comme compte disponible, revolving ou encore trésorerie charment beaucoup. Pourtant, ils sont truffés de pièges. Les pièces à fournir moindres signifient derrière des mensualités colossales à verser à la banque. Il en est de même pour la possibilité de souscrire à une dizaine de revolving en même temps. La facilité de la négociation ne justifie pas non plus les frais de dossiers exorbitants.
Perte du pouvoir d’achat
Séduits par ces formules, les consommateurs s’y lancent sans même peser le pour et le contre. Ils renouvellent leur emprunt alors que les précédents ne sont pas encore réellement remboursés. Au fur et à mesure des demandes, ils gonflent le montant de leur remboursement. Au final, ils se trouvent avec un budget tellement serré qu’ils ne trouvent plus d’autres solutions que la souscription à un autre crédit. En de telles situations, ils ne sont pas loin de devenir insolvables.
La solution idéale
Dans le cadre de la trésorerie, la meilleure solution consiste à contracter un emprunt gratuit. Il s’agit d’un crédit personnel à négocier avec un vendeur sur l’un de ses produits. Le délai de remboursement ne dépasse pas les 3 mois et il n’y a aucuns frais de dossier à payer. La question de l’assurance ne se pose même pas ainsi que celle des garanties.