Depuis cinq ans maintenant, le marché immobilier américain a connu une crise importante. La situation est devenue telle que les propriétaires ne peuvent même pas renégocier leur crédit immobilier pour alléger les mensualités. Heureusement, une stabilité est à venir pour leur permettre de se ressourcer.
Topo sur la situation actuelle de la bulle immobilière américaine
Selon les enquêtes de l’indice Case-Shiller, le prix des logements aux États-Unis a connu une légère hausse depuis juin 2012. Dans les vingt plus grandes métropoles du Pays, le montant des biens en vente a progressé de 1 % par rapport au mois précédent. De plus, il s’est déjà redresser de 1 % en mois de mai.
Ainsi, l’indice S&P Case-Shiller a augmenté de 0,5 % depuis la moitié de l’année 2012. Il semble donc que la bulle immobilière américaine reprend son souffle.
Le marché de Montréal en particulier
Etant le second centre d’affaire du Canada, il est jugé opportun de mettre plus d’attention à Montréal. Selon les études, cette ville n’a pas été victime d’une baisse des prix immobiliers depuis 2010.
Ainsi, elle donne plus d’assurance aux investissements étrangers. La valeur des chantiers en construction y est estimée aujourd’hui à plus de 21 milliards de dollars. De plus, le tarif des biens y reste abordable et offre des rendements élevés.
Un retour à la normale des crédits immobiliers
Vu les contextes précédents, les banques ont dû mettre en place des politiques pour optimiser leurs gains. Ainsi, l’accès à ce type de prêt personnel est devenu plus difficile. Les apports personnels atteignent un summum.
Les critères de sélections des bénéficiaires sont plus rigoureux. Les crédits immobiliers ne sont disponibles que pour les individus présentant un revenu stable. Ce peuvent être les salariés en CDI ou les retraités.
Avec le redressement des valeurs de l’immobilier, les emprunteurs peuvent aspirer à un allègement des démarches pour l’obtention des crédits hypothécaires.