Le montant du crédit immobilier, de la réserve d’argent et de tous autres crédits conso dépend de la capacité d’emprunt. En d’autres termes, il s’agit de la prédisposition du ménage, du couple ou de l’individu à payer les mensualités. En plus de pouvoir rembourser, il a une condition de vie normale. L’évaluation de cette faculté passe avant de nombreuses étapes afin de déterminer le montant du crédit à accorder.
La capacité d’endettement moyenne
L’individu ne peut prétendre à un prêt auprès d’une société de crédit que lorsque ses ressources sont favorables. Ainsi, le calcul de ce pouvoir d’endettement passe par les revenus nets et imposables. Ceux-ci sont divisés en deux parties, dont la rémunération professionnelle et les loyers.
Cette estimation inclut, également, les charges du futur débiteur c’est-à-dire le loyer et les autres mensualités déjà en cours. Cela peut concerner le prêt travaux, le crédit personnel ou encore une trésorerie.
Pour le calcul proprement dit, il faut soustraire les charges et les autres remboursements de l’ensemble des revenus. Le résultat est divisé par la totalité des ressources. Il faut, par la suite, multiplier le résultat par 100 afin d’obtenir le pourcentage.
Les banques accordent jusqu’à 33 % de taux d’endettement d’une manière générale. Ce taux représente la capacité maximale de remboursement du foyer, d’un couple ou d’un individu.
L’exception des ménages aisés
La règle du 33 % s’applique, généralement, à toutes les situations financières. Pourtant, il y a une exception. Dans le cas de l’octroi d’un crédit, cette dernière est accordée aux demandeurs à forte entrée d’argent. Cela ne tient pas compte s’il s’agit d’une demande d’une couple ou non.
L’exclusion se manifeste par l’acceptation d’un taux d’endettement élevé, pouvant atteindre 40 à 45 %. Effectivement, l’organisme financier donne une importante somme de crédit, car son client a largement le moyen de le rembourser.