De nombreux ménages n’arrivent pas à payer les réparations que nécessitent leurs habitats. Pourtant, il existe des solutions dignes d’intérêt permettant d’améliorer sa maison même pendant les périodes de crise. Le Compte épargne logement fait partie du lot de ces solutions. Il facilité l’accès à un prêt travaux comme crédit conso et au crédit immobilier. Ce type d’échappatoires sous-entend toujours des conditions à respecter avant d’avoir le crédit tant convoité.
Les conditions d’obtentions du crédit par CEL
Avec le Compte épargne logement, il faut commencer par épargner avant d’espérer obtenir un prêt. Cette épargne dure 1 an et demie au minimum. Il génère un taux de rémunération de 1,5% annuel pour une épargne maximale de 15 300 euros. Après les 18 mois d’activation du compte, tout l’argent et ses intérêts sont retirés avant de demander le prêt. Le prêt accordé est d’un montant de 23 000 au maximum. 2,75% constituent le pourcentage de cet emprunt valable pendant 2 à 15 ans. Il faut avoir produit entre 22,50 à 37 euros pour obtenir le crédit travaux. La rémunération doit être de l’ordre de 75 euros pour le prêt immobilier.
Les autres contraintes à considérer pour obtenir un prêt travaux
Pour encourager le prêt après le CEL, l’État accorde une prime de 1 144 euros au maximum après la clôture. Il s’agit d’un bonus exempté d’IRS (impôt sur revenu). Toutefois, il reste soumis aux prélèvements sociaux de l’ordre de 12,3%. Si, par malheur, le titulaire meurt en cours du crédit ou de l’épargne, ses successeurs peuvent utiliser ses droits. Ce type de prêt peut être assemblé à un Plan épargne logement dans le but d’augmenter le montant obtenu. En fait, en PEL, la banque peut accepter jusqu’à 92 000 euros d’emprunt. Contrairement au PEL, le fonds d’épargne est utilisable pendant son cours.