Le rachat de crédit est le théâtre d’un bras de fer immense entre de nombreux acteurs. Ce sont les intermédiaires en opération bancaires ou IOB, les entreprises financières ou encore les banques traditionnelles.
Que dire des IOB ?
Les IOB, intermédiaires en opération bancaires, se définissent comme des mandataires d’autres institutions financières. La règlementation stipule qu’un établissement doit faire ses preuves pour espérer être qualifié comme IOB.
Ils servent de négociateur unique entre les Banques et le débiteur. Leur métier consiste à suivre le dossier du client jusqu’à ce que le rachat du crédit soit effectif. Cela implique une évaluation des risques et une analyse de la situation de l’intéressé. Ils interviennent également auprès des organismes bancaires pour trouver le meilleur compromis.
Les entreprises financières : un mastodonte dans le domaine
Ce type d’opérateur de rachat de crédit dispose d’un statut spécifique. La première moitié de ses actions est détenue par des succursales de grandes banques de dépôt. L’autre est composée par des sociétés œuvrant dans divers domaines.
À l’inverse des banques traditionnelles qui se rétribuent des gains monétaires sur bon nombre d’opérations, les entreprises financières ne tirent ses sources de revenus qu’à partir du crédit.
Il prend en main le dossier du client, de l’analyse jusqu’à l’octroi du rachat de crédit envers le débiteur.
Les banques traditionnelles : une valeur sûre
Les banques sont le plus à même de répondre aux attentes des clients, désireux de se porter acquéreur d’un rachat de crédit. De par leurs expériences dans ce secteur, il est sans conteste que le recours à cet interlocuteur paraît largement avantageux.
Toutefois, la rigidité de leurs offres fait souvent entrave à la bonne marche de l’obtention du rachat du crédit. L’existence de plusieurs filtres peut parfois rendre le processus, difficile.