Le bénéficiaire d’un Plan épargne logement peut accéder à un prêt épargne logement. Ce prêt peut se traduire en un crédit immobilier ou un prêt travaux. Pour ce dernier, l’usage de l’emprunt d’un PEL est de diverses natures. De plus, cette formule comporte des contraintes bien distinctes.
Tout savoir sur le PEL
Le Plan épargne logement est destiné à financer un projet immobilier comme les travaux. Il consiste en deux étapes bien distinctes. La première intègre l’étape de l’épargne proprement dite. Dans la seconde phase, le détenteur du compte peut demander un prêt immobilier. La somme perçue sera calculée sur la base des rémunérations enregistrées pendant tout le stade de l’épargne. En outre, plus le compte est vieux, moins élevée sera la somme obtenue. Celle-ci ne dépasse pas les 92 000 euros. Afin de l’obtenir, vous devez verser de l’argent tous les mois, trimestres ou semestres. Au bout de 4 ans ou plus, vous retirez l’argent de la banque et déposez la demande de crédit. Le taux de l’emprunt est plafonné à 4,2% sans l’assurance.
Quels types de travaux sont financés par le PEL ?
Dans le cadre du Plan épargne logement, le prêt personnel obtenu est uniquement destiné à l’amélioration de la résidence principale. Tous les travaux possibles sont réalisables avec l’emprunt dérivé du PEL. Il s’agit, entre autres, de la réparation de la plomberie, de la maçonnerie ou de l’assainissement. Les équipements d’assainissement en sont concernés également. Aussi, vous pouvez effectuer l’amélioration de la consommation en énergie par l’isolation thermique. L’amélioration du sanitaire n’est pas en reste tout comme la séparation de pièce et l’isolation acoustique. Il ne s’agit donc pas de la finition d’une maison neuve. Tout cela à part, le PEL est utilisable sur tous les projets immobiliers possibles comme l’achat de terrain ou de maison.