Les établissements bancaires font, toujours, face à des incidents de paiement. Cette situation devient, de plus en plus, courante. Les crédits conso et les prêts personnels sont autant de crédit pouvant désavantager la banque. Ces impayés démotivent cette dernière dans l’octroi de prêt, surtout pour les crédits conso.
Microcrédit social : avantageux pour la banque et pour le demandeur
En règle générale, la banque s’engage avec le demandeur si celui-ci présente les conditions et les garanties suffisantes. Il s’agit de la solvabilité ainsi que de la faculté de fournir des garanties. La caution est une des conditions que toutes banques demandent à ces emprunteurs. Cela dans le but de valider un contrat de prêt. Les prêts classiques sont couverts par des garanties. L’emprunteur doit, donc, en fournir pour obtenir le prêt. Elles sont actionnées au cas où l’emprunteur n’arriverait pas à rembourser.
Les microcrédits sociaux sont, souvent, présentés comme des prêts à risques pour la banque. La situation financière du demandeur est assez délicate. Pourtant, ce genre de crédit est beaucoup moins risqué. La garantie y est plus sûre.
L’association financière : caution de qualité
Le microcrédit social n’est pas un cadeau. Le demandeur doit être pleinement conscient de ses obligations. Cette responsabilisation se traduit par le paiement des mensualités jusqu’à la fin u délai convenu. Comme tout crédit, une garantie accompagne les microcrédits sociaux. Dans ce cas, c’est l’association elle-même qui se porte garant du crédit du demandeur. Elle représente la caution morale et appuie largement la décision de la banque. Cette décision de se porter garant se fait après étude des dossiers du demandeur. Il doit fournir toutes les pièces justificatives possibles pour argumenter sa bonne foi et la conscience de ses obligations. Les microcrédits personnels sont donc très avantageux pour les banques, car la caution est très solide.