Tout comme le crédit conso, le microcrédit personnel sert, principalement, à financer des projets personnels. L’achat d’une voiture utilitaire par le biais d’un microcrédit personnel ressemble vaguement à un crédit auto. Certains consommateurs l’utilisent également dans le but d’acquérir de nouveaux appareils électroménagers tout comme un prêt personnel. Il s’agit d’un emprunt à faible taux, pourtant, les gens ne se précipitent pas pour l’obtenir. Ils ne savent peut-être pas qu’ils sont des bénéficiaires potentiels. Voici les détails d’un éventuel avantage de ce mode financement.
Le profil du débiteur
Le type de débiteur regroupe tous les exclus du circuit bancaire traditionnel. Ici, on parle des personnes en CDD, des chômeurs avec allocation, des personnes âgées à faible retraire et même des étudiants. Ils ont reçu un refus d’approvisionnement de la part de l’établissement financier. Cependant, ils présentent une bonne capacité de remboursement. Ils ne sont pas non plus mêlés à une procédure de surendettement. Toutefois, ils peuvent déjà être fichés.
L’organisme d’appui
Il faut faire appel à un organisme d’appui ou à une association d’aide quelconque pour pouvoir accéder à un microcrédit individuel. Leur expert substitue le banquier dans l’analyse du dossier du demandeur. Il vérifie votre aptitude à honorer régulièrement votre remboursement. Il procède, ensuite, au montage du dossier après conscientisation sur cet engagement et l’évaluation proprement dite. Il entame la négociation auprès de l’établissement de crédit par la suite.
La Caisse des dépôts et des consignations
La Caisse des dépôts et des consignations ou CDC joue un rôle crucial dans le financement par microcrédit social. En effet, ce dispositif reste méconnu en France, mais l’État encourage son recours. Pour ce faire, il prend le rôle de garantie en participant au fonds de cohésion sociale. En cas d’impayé, il indemnise, ainsi, le prêteur jusqu’à 50 % de la dette.