Lors de la demande d’un crédit conso auprès d’un organisme financier, l’opérateur financier propose deux types de taux. Le taux variable en est le premier. Son fonctionnement est très compréhensible. De plus, les avantages ne manquent pas avec un tel pourcentage d’intérêt de la banque. Cependant, il existe des points négatifs. Par ailleurs, les établissements financiers tendent à recourir à des termes frauduleux.
Le principe du taux révisable
Le taux révisable ou variable change de temps en temps. Généralement, le changement à la hausse ou à la baisse survient par trimestre ou chaque année. Il se réfère à l’indice de référence donné par l’Euribor.
Au cas où il y a une oscillation de ce pourcentage, cela peut produire un impact sur la durée de remboursement. Ce phénomène provoque, bien évidemment, une conséquence sur le montant des mensualités. Cela dépend, en fait, du crédit demandé. C’est pourquoi, le taux du prêt personnel ne ressemble certainement pas à celui du prêt travaux.
Les principales caractéristiques du taux variable
Contrairement au taux fixe, le taux révisable peut profiter de la baisse enregistrée sur le marché. Ainsi, il peut être très bas. D’ailleurs, sans même cet indice, il est déjà plus bas de 1,5 à 2 points. Au cas où son augmentation deviendrait insupportable, l’option de sa transformation en fixe est toujours proposée.
Toutefois, le risque constitue son principal inconvénient. Le débiteur ne sait jamais à quoi s’attendre avec un taux variable. De plus, personne ne connaît le coût réel du prêt à l’avance.
Le taux variable à mensualité fixe, un piège
Certains établissements prônent une politique de « taux révisable à mensualité fixe ». Pourtant, il ne s’agit pas d’une option possible. Selon les mouvements donnés par Euribor, la cotation change régulièrement. Ainsi, l’emprunteur paye différentes mensualités tout au long du contrat de crédit.