Faire de la publicité pour des crédits conso est une pratique tout ce qui est des plus légales. Pourtant, cela peut conduire à des problèmes de surendettement. La loi a encadré ce système et a renforcé la protection des consommateurs contre toutes dérives sur les prêts personnels. Certaines publicités concernant les offres à crédit sont floues et n’indiquent pas le coût exact.
L’encadrement de la publicité des crédits
La loi Lagarde a prévu de nombreux points pour mieux cadrer les publicités sur les crédits. Celles-ci doivent indiquer des termes obligatoires. Le but étant de vous faire comprendre quelles sont vos obligations. Si vous décidez de souscrire une quelconque offre de crédit pour l’achat d’un bien, vous devez être bien informé. À commencer par l’inscription : « un crédit vous engage et doit être remboursé. Vérifiez vos capacités de remboursement avant de vous engager ».
Les mentions obligatoires
La réglementation des publicités comprend une indication claire du taux, des exemples représentatifs, les mentions obligatoires et interdites. Elles peuvent être diffusées par voie postale, électronique, au domicile ou sur la voie publique. Certaines d’entre elles peuvent prêter à confusion « une réserve d’argent pour maîtriser votre budget ». La clarté est le maitre mot dans toutes publicités de crédit. Le taux d’intérêt doit être mentionné sans ambiguïté. Il ne doit pas être caché sous des slogans mettant en avant le taux promotionnel.
Les mentions interdites
Les publicités sur les crédits ne doivent pas figurer tout et n’importe quoi. Les mentions obligatoires sont bien précises, mais celles interdites sont également encadrées. C’est pour cela qu’il y a des mentions à ne jamais mettre. Il ne faut jamais mentionner des références à un numéro d’inscription ou d’agrément à une centralisation de crédits. Les « crédits gratuits » sont également interdits.